lundi 16 février 2015
17 février 2015- DODÉCAPHONIE INDUSTRIELLE
Je tente d’expliquer une progression qui aurait put s’établir dès l’orchestration des musiques sérielles aux moeurs bruitistes. Je fais intervenir Bergson qui avait une vision si proche des répétitions minimalistes industrielles, en quasi-symbiose avec le parallélisme de Huxley, que j’arrive à la déduction suivante : le nom de Genesis P-Orridge (Throbbing Gristle, NWW) est choisi pour le surplace ou le retour sur le présent perpétuel qu’offre sa musique (cf Matières et Mémoires de Henri Bergson).
Interviennent dans les séries de sons (symphonie sérielle) présentés en mode atonale, les humeurs, les mots, les notes des différents genre de l’humanité. L’évolution dans l’indus est la prise en compte de l’oppression de l’avenir sur le présent. La répétition des machines interpréterait le présent pour l’infini...
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