IL CACCIATORE DI SUONI - La Forêt numero 9
OT TO, NOT TO
Musique transfigurée. Fait maison. Grande fraîcheur et sincérité. Sons construits.Mélancolie.
Je cherche consciemment une musique avec des structures qui défient la norme, une musique qui se sent différente des produits sur-polis, pour explorer l’idée de perfection d’une manière différente. OT TO, NOT TO est définitivement un projet, tombant dans cette catégorie de « perfection non conventionnelle ».
Pseudonyme OT TO, NOT TO choisi au début quand Ian Murgewa a eu 19 ans, quand il a commencé écrire et composer.C’etait 2016 quand il part de ca ville natale à Richmond où il dort par terre pendant il registre son premier album Goshen. À la fin de 2016, a rejoint Noah Smith au chalet de sa famille dans les montagnes Appalaches de Virginie, pour enregistrer un suivi de Goshen. These Movements I&II. Avant cela, les deux artistes avaient subi les effets isolants d’une maladie mentale non traitée, et se retirer dans les montagnes pour enregistrer semblait offrir un exutoire cathartique dont ils avaient désespérément besoin. Ce réglage sylvanique a incité à passer de l’électronique plus froide et abstraite à l’esthétique plus naturaliste, axée sur l’analogique et axée sur la guitare du nouveau disque. Le traitement sur bande était largement utilisé comme moyen de coller et de manipuler des échantillons. Tous les instruments - même les parties d’orchestre - ont été joués par Ian et Noah. Une conception sonore subtile, mais détaillée, basée sur des échantillons a été utilisée tout au long de l’album pour la texture et, contrairement à leurs débuts, aucun synthétiseur n’a été utilisé. Au lieu de cela, l’accent était mis sur la manipulation d’échantillons que le duo accumulerait après des heures d’enregistrement sur le terrain. Tout au long de la session d’enregistrement, le duo adopta une révérence religieuse pour les bois et les montagnes qui les entouraient. En conséquence, l’album aborda des thèmes de nostalgie spirituelle et d’exploration explorés sous des paroles allégoriques sur l’isolement et l’amour perdu. De plus, des éléments de musique électronique ambiante ont été explorés sur It Loved to Happen, certaines chansons abandonnant toute structure de chanson au profit d’une exploration sonore brute.
Tout au long des trois albumes, Ian Mugerwa exprime tout son cœur en chantant. Sa voix semble raconter des histoires bien plus vieilles que ses 22 ans, racontant certaines histoires en douceur, d’autres en soupirs feuilletés. L’instrumentation utilisée ne fait que renforcer ces thèmes lourds - des sons électroniques sévères jouant de la guitare, des bongos et des couches de violoncelle créant des atmosphères effrayantes, un brillant kalimba (piano à queue). Au-delà de ces chansons douces et simples sur la lutte, il y a des mélodies accrocheuses. Ils créent une dépendance et ils creusent profondément - vous vous en souviendrez très vite. Les compositions sont tellement merveilleuses. Émotionnel, mais aussi agréablement simple et pur. Et c’est la meilleure façon de décrire ce que je trouve parfait dans ce disque : c’est pur, sans prétention et réel. Un enregistrement sincère venant d’un lieu réel, d’une expérience réelle. Et lorsque vous commencez à écouter, continuez, même s’il peut parfois sembler difficile de conserver deux "certaines imperfections" telles que les fréquences mises en surbrillance, les pédales grinçant, etc. Je suis cependant convaincu que cette imperfection apparente et ce léger inconfort sont intentionnels. En fait, ceci est probablement l’interprétation de la perfection de Ian - sinon, pourquoi l’aurait-il fait ainsi ? La collection chuchotant avec l’idée de désir, mélancolie, de douceur, liée à l’expérimentation électronique et à l’expérimentation vocale. Les sons insaisissable, impalpables…ceux proposés par jeune Ian Murgewa dans art de Ot to, not to. Gelé, particulier, la musique fait de soupirs. En cuivre de l’arbre. Vrai beauté.
Je vous invite à imaginer, votre arbre, votre abri. Un arbre qui est personnalisé et unique. Chaque un a son image.. Ca pourrait etre un pin prenant le soleil au bord de la mer, ..la chêne en train de gouter le son de la pluie..eucalyptus en abrasent les oreils de ciel.. Vous pourriez toucher les feuilles de votre corps arbre..ou sont vos feuilles ? les fleurs ? vous avez des fruits ? racines arrivent jusque où en se baladant encochant les autres espèces des arbres amis…je vous invite pour caresser le vent qui circule entre vos fils et je vous invite à sentir le jeu de vos fibres.. C’est comme à la fin du mois d’août. Le ciel couronne et rase les odeurs jaunes des ténèbres. Il me regarde avec les étoiles. Je suis dans le feuillage. Nous sommes si proches du vent. Je le sens dans la colonne vertébrale et au fond de mes yeux. C’est ma manière secrète d’affliger, sculpter ce monde. C’est bon en forêt, et même quand il n’y a pas de pluie, l’été sent la fertilité, le pain et la maternité. Quelque chose frés et nutritive pénètrent dans le cerveau et m’aident à réfléchir. À travers le verre inachevé du clair de lune, j’entends assez bien l’appelle vert de l’herbe qui arrivent jusque moi d’une distance rêveuse et pourtant proche, comme si elle poussait sous le menton. Ce n’est pas le moment. Les pensées deviennent plus claires. A côté moi les sons vivant différemment. Cela me semble vivant et réel. Je suis, présente, dans tout ça. Cette nature essaie de me parler pour m’expliquer dans mon langage inépuisable, pour moi-même, tout seule-même, claire et suffisante, dans des mondes sans limites appelés : solitude. Ma pensée est trop haute, au pied même du ciel. Depuis que je marche sur mes mains, les pins m’ont appris à résister aux tempêtes. L’océan souffle dans le ciel et je marche sur le même ciel, et je me casse sur les cœurs des étoiles longtemps couvées. Et à mes yeux, comme les grands scribes d’ancêtres oubliés, tombent les branches d’argent et feu d’eucalyptus. Je ne sais pas où le vent s’arrête et où les cils commencent. Savez-vous comment je m’appelle ? Pas comme un nom et nom de famille, juste comme un signe de lumière ? Mon nom est similaire à un écho. Pas de quelque chose qui était, pas de quelque chose qui est maintenant, pas de quelque chose qui est en préparation. Je suis écho d’ensemble de tout ca.
Qu’est-ce qu’un nom en général ? C’est notre capacité à voler dans l’espace en tant qu’essaim de l’univers et à nous épanouir dans l’art florissant de la confiance et de la maîtrise de l’espoir. Savez-vous comment je m’appelle ? Pas comme un nom et un nom de famille, mais comme une couleur de la vie ? Fait de feu primitif, y penser, je suis flamboyant. Et je garde dans cet incendie la manier d’allumer les étoiles. Il y a un tel sort de trésor au fond de mon œil. Savez-vous comment je m’appelle ? Je m’appelle : attendant à toi. Alors j’ai quitté la route ? Après cela je me suis perdu dans l’illusion d’une chanson.
Les morceaux se suivent en ordre :
1 WITHDRAWAL AND RESTRAIT / Goshen (Other People – OP044) 2016
2 MAMAMA / Goshen (Other People – OP044) 2016
3 LITTLE ONE/ Goshen (Other People – OP044) 2016
4 REGRETTA II / Goshen (Other People – OP044) 2016
5 THIS / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
6 MUDDY WATERS / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
7 JEREMY / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
8 HOMELESS PROBLEM / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
9 GARDEN SPORTS / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
10 DEGAS’ DANCERS / The Movements I&II ( ACR 3 – ACR017) 2017
11 IT LOVED / It loved to happen (New Info – NIOTLPx1) 2019
12 LUVSFELDT I,II&III / / It loved to happen (New Info – NIOTLPx1) 2019
13 BLANC / It loved to happen (New Info – NIOTLPx1) 2019
14 APAIXONADO / It loved to happen (New Info – NIOTLPx1) 2019
15 THE SUN LIFTS THE WATER / It loved to happen (New Info – NIOTLPx1)
Thanx Ian Mugerwa ! Thanx OT TO, NOT TO !
Documents joints
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OT TO, NOT TO (MP3 - 153.2 Mo)