Renaissance 2 mai 2017-18H - THE RUSSIAN FORTUNE
Nous ne sommes pas loin avec ce renouveau qui m’est tombé sur le coin de la gueule.
Au cours d’un mix, je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai passé un morceau de Mozart (mouvement Allegro con brio de la symphonie n°25 en sol mineur, K. 183-qui est à mon gout un pur punk), ainsi que d’autres minéraux qui accomplissaient une harmonie à mes oreilles. Mais à mon grand regret il n’y avait pas de poètes dans la salle. En revanche les critiques reçues sur mes disques, choix comme bons et parfois trop old school par moment m’ont touchées. A présent l’Electro (un mouvement sur lequel je refusai de partir en croisade) est aussi vaste que le nombre de possibilités que pourrait définir la musique.
Je comprends Bob Dylan, lorsqu’il est passé à l’électrique à partir de Subteranean Homesick Blues en 1965 et surtout Highway 61 Revisited la même année, le besoin de s’émanciper et de s’extraire d’un genre. Ce n’était pas forcément pour ses fans qu’il a fait ça mais pour découvrir d’autres horizons et un autre penchant de lui-même.
PS : Another side of Bob Dylan (1964) est éclatant.
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